Collection Belle-Mère. Je Ne L’Aimais Pas Et Pourtant (1/1)

J’ai découvert le site H.D.S et ses auteurs.
J’ai remarqué que bons nombres d’entre eux racontaient des histoires sur les « BELLES MÈRES ».
À moi aussi avec ma belle-mère il m’est arrivé une aventure peu commune.
Du moins j’aime à le penser.
Voilà ce qui a failli bouleverser ma vie.

- Alors Christian, tu ne m’embrasses pas ce matin ?
- Christian, je t’ai déjà dit cent fois que tu devais le respect à ma femme.
- Excuse père, je pensais à mon cours de ce matin.

Je me suis penché vers Josépha la deuxième femme de mon père.
Ma mère est partie avec un autre homme nous laissant seuls pour devenir la belle-mère de Lionel un de mes copains d’école.
On peut comprendre que les belles-mères et moi ça fait deux.
Surtout que Sylvain le nouveau compagnon de maman n’accepte pas que je sois un fils issu de son premier lit.
Bref, je la croise, un regard et pas un mot quelquefois que son barbot ne la voit.
Josépha a débarqué depuis peu, papa l’ayant rencontré au premier de l'An dernier.
À 40 ans, il est bien conservé mais de là à sauter une jeunette trop peu vieille par rapport à moi ça me navre.
Je me penche, je lui mets la main sur son épaule pour éviter de tomber.
Elle tourne la tête, nos bouches se touchent.
Elle me regarde et me souris semblant se marrer.
Je regarde mon père s’il a vu ce baiser un peu coquin.
Non, il a replongé son nez dans son journal que chaque matin il lit en déjeunant.
Je veux voir si se sourire est de circonstance.
Je descends ma main plongeant dans sa robe de chambre.
Impunément, je lui caresse brièvement son sein qui ne se refuse pas.
Je m’installe à la table, prends la cafetière et me sert mon bol.
Comme chaque matin Josépha a préparé des toasts.
Tout en me regardant son sourire ironique toujours au coin de ses lèvres elle me tartine du beurre et de la confiture.


Je bande.
Je suis à deux doigts de placer ma jambe entre ses cuisses, je suis presque sûr de les trouver ouvertes.
Mais j’ai pris assez de risques.
Dans le bus me conduisant à la fac où je fais des études pour devenir informaticien, je regarde mes mails.
Aline une copine m’a envoyé un petit mot.
Elle veut savoir si nous nous voyons après les cours.
Elle est en droit étant nulle en math.
Je suis en math étant nulles en français et dans les langues.
Je sais qu’elle a le béguin pour moi, mais à ce moment une autre chatte vient d’avoir toute mon attention.
« Josépha », amie dans mes contacts.
Nous avons échangé des mails, j’ai donc son adresse.
Je tape un simple smiley : visage jaune avec un cœur.
Retour un visage jaune tirant la langue.

Dans la journée je croise Aline que je ne vois pas tout à mes pensées de ce qui se passe avec ma belle-mère.
La journée est longue, il est cinq heures quand j’arrive à la maison.
Mon père ne rentre pas avant 19 à 20 heures, des fois plus.

Josépha est dans la cuisine, mon père gagne assez pour qu’elle soit oisive.
Elle a sa petite jupe ras la moule avec un tee-shirt avec une marque de produit pétrolier.
Mon père travaille dans ce milieu, dans une tour de la défense.
Son vêtement est trop grand mais pas assez pour me cacher ses grandes jambes.

- Te voilà, tu n’avais pas une copine à voir ce soir ?
- Si toi.

Disant cela, je me colle à elle passant les bras autour de sa poitrine.

- Que fais-tu ?
- Papa m’a dit ce matin de ne pas te manquer de respect.
- Et tu crois qu’en me prenant dans tes bras tu me respecte ?
- Oui comme ce matin.

Pour me dire ces mots, elle tourne sa tête et comme ce matin nos lèvres se trouvent.
Mieux sa bouche s’ouvre et ma langue prend la place libérée.
Ma main à travers son vêtement contrairement à ce matin retrouve son sein.

J’avais eu le temps de juger sa grosseur.
Est-ce car je reste plus longtemps je sens que sa fraise est très développée.
Je la libère, elle se retourne et c’est elle qui passe ses bras autour de mon cou.
Nos bouches soudées mes mains libérées passent sur ses fesses et j’arrive même à relever sa jupe empaumant une de ses magnifiques pommes.
J’arrive à glisser mes doigts dans sa raie et j’atteins du bout de mes doigts sa vulve.
Elle est trempée et surtout sans petite culotte.
Sans petite culotte, m’attendait-elle ?
Le reste du temps a-t-elle été devant moi la chatte à l’air ?
N’étant pas vicieux, je n’ai jamais essayé de la voir nue.
Mais là, je dois reconnaître que ma verge veut en avoir plus.
Comme ce matin je bande, elle ne peut pas l’ignorer.
Elle descend doucement lâchant mon cou, ses mains venant détacher ma ceinture.
Ma verge sort seule dans l’état où elle est.
Ça a beau être ma belle-mère, c’est une jolie femme et penser que je vais la sexer donne de la vigueur à ma bite.

- Elle est belle, je pense qu’elle va me donner bien du plaisir.

Après cette tirade, elle se tait car sa bouche m’engame.
Rapidement elle me fait voir la salope qu’elle ait car elle me fait une gorge profonde.
Je suis à deux doigts d’éjaculer quand elle me caresse mes grosses couilles.
Je la redresse, je veux lui bouffer la chatte, surtout son clito.
À ma caresse avec mes doigts, j’étais trop loin pour l’atteindre mais la façon dont elle mouillait il devait être au paroxysme de son plaisir.

- Viens dans ta chambre si par malheur ton père revenait plus tôt, il ne viendra pas me chercher là.

Prévoyante la belle-mère aurait-elle de grandes connaissances de l’adultère ?
Il est vrai que lorsque mon père l’a rencontré, c’est peu de temps après qu’il l’a épousé.
Que connaissait-il d’elle à part le fait qu’elle était jeune et jolie ?
Je la suis, je ferme la porte de ma chambre à clef pendant ce temps Josépha se met nue.

Comme je l’avais pressenti avec mes doigts, sa chatte est libre de tout poil.
Je la récupère dans mes bras d’une main et j’enlève mon pantalon de l’autre facilité par ma ceinture déjà défaite.
Elle est en tenue d’Ève, je suis en tenue d’Adam.
Je la couche immédiatement elle écarte ses cuisses appelant le cunnilingus.
Ma bouche se colle à son vagin qui dégouline comme je l’avais pressenti.
Étonnement quand avec mes mains j’écarte ses grandes lèvres, il est là qui m’attend ressemblant à une petite bite.
Mes lèvres arrivent à le saisir et à l’enflammer.
Dans sa fourche, je lève les yeux. Elle se mord le poing pour éviter d’hurler de plaisir.
J’ai eu quelques maîtresses malgré mon jeune âge, aucune n’a joui aussi fort.
Je suis une bête rien qu’avec ma bouche.
Je sens que la léchouille arrive à son point maxi.
Je me redresse la bite tendue comme jamais.
Je glisse le long de son corps en évitant de l’écraser, ça m’est arrivé une fois, ça a foiré mon coup.
Bien placé je la pénètre.
Aussitôt elle me bloque avec ses jambes sans pour autant m’empêcher de la pilonner.
C’est une femme exprimant ses sensations.
Je dois la museler avec ma bouche.
Atteignant le paroxysme de son plaisir, je prends le mien dans des gerbes de couleurs.

- C’était très bien Christian, j’ai été heureuse de te connaître.

Quand elle quitte ma chambre prononçant cette phrase, je pense que c’est un message.
Nous avons baisé et ce sera la seule fois.
Elle est mariée avec papa et est ma belle-mère.

- Entre papa.
- Viens-tu manger ?
- Merci papa, je n’ai pas faim, bonne nuit.
- Non, bon voyage.
Je pars demain pendant quinze jours au Canada dans le cadre de mon travail.
Travail bien pendant ce temps.
Même si tu as du mal avec elle, essaye de prendre sur toi et que tout se passe bien avec Josépha.

Va papa, part tranquille, bien sûr que je vais prendre sur moi chaque fois qu’elle viendra s’empaler sur mon pieu.

Je sens qu’elle est du genre à aimer dominer son mâle.
J’ai faim mais je me vois mal me retrouver au milieu du couple.
Dans la nuit je vais dans le frigo.
Je passe devant leur chambre.
Merde, quelle gourmande, ses cris me montrent que je ne l’ai pas pleinement satisfaite.

Au matin, je me lève, plus aucun bruit dans la maison.
Après nos ébat d’hier j’ai pris ma douche enlevant l’odeur de ma maîtresse afin que papa ne sache pas que je le fais cocu.
J’ai bien fait il est venu dans ma chambre.
Habillé, je sors de ma chambre et je vais dans la cuisine.
Elle est vide, mon déjeuner est préparé.
Papa parti c'est normal, mais Josépha c’est bizarre.
Depuis qu’elle est chez nous, elle profite de la situation pour se lever vers dix heures.
Je mange mes tartines me les préparant moi-même et je pars à mon cours.
Il est dix heures quand je peux téléphoner.
Je prends mon portable, elle répond.

- Christian, je croyais avoir été claire lorsque je t’ai dit adieu.
- Mais j’ai aimé faire l’amour avec toi.
- Moi aussi, depuis que je vivais avec ton père j’avais envie que nous le fassions.
- Mais où es-tu ?
- À l'aéroport, j’attends mon avion.
- Tu pars au Canada avec mon père ?
- Non, quand je l’ai rencontré, je croyais que c’était l’homme de ma vie et j’ai voulu me poser.
Rapidement je me suis aperçue que je me trompais, surtout après la fin d’après-midi passée avec toi.
J’ai laissé une lettre à ton père m’excusant du mal que je vais lui faire quand il rentrera.
Je lui ai laissé tout ce qu’il faut pour notre divorce.
Une dernière chose mon vol pour le bout du monde est annoncé.
Ton père et toi avez été les deux meilleurs coups depuis qu’à la fin de mon adolescence j’ai perdu mon pucelage.
Bise, continue bien ta vie.
Beau et bon comme tu es ce ne sera pas bien difficile.
- Bon voyage.

Elle a coupé, l’avion l’attend.
Moi c’est mon cours qui va commencer.

- Christian on se voit ce soir ?
- Bien sur Aline, tu pourras même venir chez moi, mon père est au Canada.

Une chatte s’envole, une autre me saute au cou pour m’embrasser.
Papa, on verra sa réaction à son retour.
Il aura le temps de lire la lettre que ma belle-mère a posé sur leur lit.

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